Argumentaires
Depuis des mois que l'on nous parle du budget 2026 (rappelez vous ça à commencé avant l'été, avec Bayrou et la suppression de 2 jours fériés et un projet de budget de guerre sociale contre le peuple), politiques de droites, du centre, d'extrême droite n'ont qu'un seul mot à la bouche : La dette ! Expression employée comme « la mère en gueule » pour faire peur aux intrépides.
Nous l'avons déjà dit, « la dette », ce n'est pas trop de dépenses utiles. C'est au contraire pas assez de rentrées fiscales, de trop bas salaires qui ne permettent pas d'alimenter les comptes sociaux ni de vivre, c'est surtout le fruit de la fraude et de l'exil fiscal, mais aussi des cadeaux fiscaux à foison : 211 milliards de cadeaux aux très grandes entreprises, sans contrôle ni contrepartie !
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- Écrit par : Christian TRAMOY
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Tel est bien l’enjeu. Bien que les transports soient responsables de 39% des émissions de gaz à effet de serre (GES), bien que le train pollue 32 fois moins que la voiture et 23 fois moins que l’avion, les actes du gouvernement ne suivent pas les promesses de lutter contre le réchauffement climatique.
Non seulement le train, grand oublié du plan de relance, n’est pas une priorité gouvernementale, mais l’ouverture des TER à la concurrence vers laquelle s’orientent certaines régions, dont la Bourgogne Franche-Comté, ne peut que dégrader le service ferroviaire.
On nous objecte que la décision vient de l’Europe. Encore faut-il rappeler que c’est avec l’accord complice de tous les gouvernements français depuis 30 ans, et la responsabilité de tous les partis politiques qui ont soutenu des traités instituant le règne de la « concurrence libre et non faussée » comme principe fondateur de la construction européenne. Il est néanmoins possible de différer de 10 ans l’obligation européenne d’ouverture à la concurrence en signant d’ici la fin de l’année 2023 une convention TER 100% SNCF. C’est la proposition que portent le parti communiste et ses élu·e·s.
Nous voulons que cette convention développe une offre ferroviaire publique construite démocratiquement et conforme aux besoins des usagers.
Le journal proposé en téléchargement s’en fait l’écho.
journalDesElusPcfBfc.pdf
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- Écrit par : Jean-Michel DE ALMEIDA
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Alors qu'une très forte majorité, sondage après sondage, s'oppose à un recul de l'âge légal de départ à la retraite, alors que plus d'un·e salarié·e sur deux n'est déjà plus en activité entre 55 et 64 ans, alors que notre société, le monde du travail et la jeunesse ont tant besoin d'une réforme pour une bonne retraite pour répondre aux défis de la période actuelle et des prochaines décennies, Emmanuel Macron et le gouvernement ont décidé, plus encore qu'un passage en force, d'une fin de non recevoir vis-à-vis des besoins humains et sociaux, veulent en finir avec ce qui est consubstantiel à notre façon de concevoir une société solidaire.
Les efforts de communication, les mensonges aussi, ne peuvent cacher qu’Elisabeth Borne propose un basculement dont le pays ne veut pas. Avec cette réforme, Macron et l'exécutif, soutenus par les Républicains, s'adressent prioritairement au grand capital, aux instances européennes et aux marchés financiers.
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- Écrit par : Guy TALÈS
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Le Printemps Chalonnais présentera 3 listes sur l'agglomération. Le collectif qui avait appelé à un large rassemblement de toute les forces progressistes et écologiques dans notre bassin de vie regrette de n'avoir pas été entendu par les autres formations de gauche.
Nos candidats sont des citoyens souvent engagés dans la vie associative, syndicale ou politique. Ensemble nous souhaitons que cette élection soit un moment de débat et de partage de nos idées. Nous sommes soutenus par 3 organisations politiques: La Gauche Républicaine et socialiste, le Parti Communiste Français et par la France Insoumise.
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- Écrit par : Jean-Michel DE ALMEIDA
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SAÔNE-ET-LOIRE Justice
Menu unique dans les cantines : le Conseil d’État retoque définitivement la décision du maire de Chalon
Agence locale de presse (ALP)
C’est la troisième fois que la justice administrative rejette l’initiative du maire de Chalon, Gilles Platret (LR). Le Conseil d’État a rejeté, vendredi, le pourvoi de la commune tendant à faire réhabiliter son arrêté municipal de septembre 2015, stipulant qu’il ne soit plus proposé qu’un seul type de repas à l’ensemble des enfants au déjeuner à la cantine. Motif ? « Le principe de laïcité interdit la prise en considération de prescriptions d’ordre religieux dans le fonctionnement d’un service public ». Attaqué devant le tribunal administratif de Dijon par la Ligue de défense judiciaire des musulmans ainsi que plusieurs particuliers, cet arrêté avait été annulé par les magistrats bourguignons en août 2017, au nom d’un « excès de pouvoir » de la commune. L’argument de fond des requérants consistait à expliquer que la Ville « faisait une interprétation erronée des principes de laïcité et de neutralité du service public ».
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- Écrit par : Guy TALÈS
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Covid-19 : Protéger la population - relever les défis de la crise (Contribution du Parti communiste français 31 mars 2020)
- Blocage des prix de l’eau, gaz, électricité, télécommunications et assurances
- Suppression de la TVA sur les produits de 1re nécessité
- Gratuité des transports
- Gel des loyers et du remboursement des prêts sous condition de ressources
- Versement d’une allocation exceptionnelle pour les foyers les plus en difficulté
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- Écrit par : Jean-Michel DE ALMEIDA
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